Accueil Des animaux d’ici et d’ailleurs...

Des animaux d’ici et d’ailleurs…

La collection de zoologie comporte l’ensemble des techniques de préparation de collections, et se compose d’environ 2 750 oiseaux, 800 mammifères, auxquels il faut rajouter environ 620 montages ostéologiques et crânes ou autres os, 245 nids, et plus de 750 œufs. De la souris et du passereau jusqu’au zèbre et au cheval tarpan, en passant par la loutre ou les oiseaux de Paradis, toute la diversité du monde vivant animal sur l’ensemble des continents est représentée dans les collections de zoologie du muséum troyen.

Les animaux d'ici...

La quasi-totalité des familles et espèces d’oiseaux et de mammifères de France et d’Europe occidentale est présente en collection. Elle contient des oiseaux, des mammifères, mais également des reptiles, batraciens et poissons, ainsi que des chiroptères (chauve-souris). De nombreux rongeurs tels que la souris et le lérot côtoient le loup et le lynx. Le Muséum possède d’ailleurs la taxidermie du dernier loup tué dans l’Aube.

Le Muséum conserve des spécimens importants pour la science et notamment pour l’étude de la dynamique des populations. Certains animaux sont communs dans notre département, mais il est tout autant important de les conserver pour garder la trace de leur présence à notre époque, et mieux les connaître. Qui a réellement vu une grue ou un martin-pêcheur de près ? Qui sait faire la différence entre un cerf et un chevreuil ? Certains spécimens proviennent d’espèces extrêmement menacées, comme le lynx ou les passereaux, voire disparues tel le cerf de Corse.

Les animaux d'ailleurs...

La collection comporte de nombreuses familles et espèces d’oiseaux et de mammifères du monde entier. Elle contient des oiseaux, des mammifères, mais également des reptiles, batraciens et poissons, ainsi que des chiroptères (chauve-souris) de tous les continents et de leurs spécificités.

Le Muséum conserve des spécimens importants pour la science et notamment pour l’étude de la dynamique des populations. Certains animaux et familles sont communs, mais il est tout aussi important de les conserver pour garder la trace de leur présence à notre époque, et mieux les connaître. Ainsi, qui a vu de près un zèbre, un ours ou un bœuf musqué ? Qui connait les paradisiers, ces oiseaux superbes aux parades nuptiales endiablées ? Certains spécimens proviennent en revanche d’espèces extrêmement menacées, comme le kakapo ou le pangolin, voire disparues comme les huppes de Bourbon, le tigre de Java ou le pigeon migrateur.

Une partie des collections provient de collectes anciennes, datant du 19e siècle. C’est le cas des primates provenant de dons du Muséum national. D’autres acquisitions sont plus récentes. 

Le Muséum reçoit également des dépouilles d’animaux trouvés morts de mort naturelle par les services de l’Office Français pour la Biodiversité ou par le Parc Naturel Régional de la Foret d’Orient puis les fait naturaliser. Par exemple, les grues cendrées, les cigognes ou les vautours récemment naturalisés sont de provenance locale.

Le Muséum reçoit notamment des dons de dépouilles d’animaux morts dans les parcs zoologiques. Ainsi, la collection peut s’agrandir d’espèces exotiques protégées tels les perroquets ou les antilopes, tout en respectant la législation interdisant la chasse de ces espèces.

Ces spécimens deviennent alors les témoins muets de leurs congénères vivants, pouvant aider à mieux les connaître, les apprécier et ainsi sensibiliser les visiteurs à leur protection et à celle de leur environnement.