Sépulture féminine 21 de la nécropole gauloise de Saint-Benoît-sur-Seine
A partir du second quart du 3e siècle avant notre ère, les femmes de haut rang modifient leur parure.
Don J. Bienaimé en 1985
Le torque disparaît et la ceinture, désormais entièrement de bronze comme ici, est plus fréquente. Il n’y a plus qu’une seule fibule par tombe. On trouve ici un bracelet de verre, création celtique à partir d’une matière première pourtant importée de Méditerranée orientale. Cependant, un tel mobilier demeure rare et symbolise l’importante position sociale de la défunte.